Grosse journée

Alors oui grosse journée vu que ce matin l’école était fermée à cause des routes et que l’après midi j’ai été obligé de descendre quand même pour une réunion.

Du coup et bien vous devinez…

Pas le temps de faire des recherches pour un article ce soir, aujourd’hui c’est donc joker !

Un retour remarqué !

Chaque fois lorsqu’elle revient on y croit pas et au début ce sont les cris de joie des enfants dans la cour de récré (ce ne sont pas les enfants de mon groupe) qui nous rappellent à quel point la neige c’est sympa lorsque l’on est un enfant.

Puis arrive le moment du départ des véhicules et taxis et là c’est tout de suite moins marrant…

Une heure pour faire un trajet que d’ordinaire je fais en 25 minutes !

Plus personne ne sait conduire sur la neige, plus grand monde est équipé en ville. Du coup ce sont de longues chenilles de véhicules évoluant en seconde qui bloquent les routes…

Et arrivé sur mes hauteurs là où il fait moins 5 à 17h30, il faut jouer à « On se rappelle où est la route » où à « Est-ce que je suis sur la voie de droite ? » pour les moins forts.

Du coup au bout de tout ça on est content d’être rentrés et on ne reste pas sur l’ordi, on va se coucher pour décompresser. Alors bonne nuit ! PS : Le lendemain l’école était fermée je suis resté au chaud !

Des souris et des hommes

Nous reprenons donc le cours habituel de ces pages avec une petite chronique que j’ai trouvée mignonne voire touchante.

La scène se passe dans le comté de Powys qui est situé au centre du Pays de Galles au Royaume Uni.

Rodney Holbrook un paisible retraité de 75 ans découvre un jour que des petits récipients plats préparées à l’avance et contenant des noisettes sèches qu’il met à disposition des écureuils et autres animaux sauvage, sont presque vidées chaque nuit. Rodney remarque également une autre chose étrange c’est que le restant de fruits secs est recouvert de divers petits éléments ou débris qui se trouvent dans cette cabane de jardin qui lui sert aussi d’atelier.

Cela dure pendant plusieurs semaines jusqu’au moment où Rodney décide de poser des caméra à vision nocturne pour savoir ce qui se passe.

C’est alors qu’il découvre que chaque nuit une souris aidée parfois de quelques congénères, vient manger les fruits secs et comme pour compenser remplir les coupelles de divers débris comme si elles faisaient le ménage de l’atelier. Ces souris ne pouvant entrer dans cet abri de jardin bien hermétique y vivent sans doute depuis le début, échangeant des noisettes et fruits secs contre un travail de nettoyeuses nocturnes.

Mais Rodney donne lui-même son explication très sensée de ce comportement étrange. Selon lui les souris viennent mettre diverses petites choses dans les petits récipients où se trouvent les fruits secs non pas pour compenser mais pour cacher leur butin aux autres souris qui n’hésiteraient pas elles aussi à profiter de cette aubaine.

Au final, si j’ai choisi cette histoire somme toute un peu banale c’est pour son dénouement.

En effet, normalement ce genre d’histoire se termine par « Rodney pose des pièges du poison ou appelle l’exterminateur ». Mais non ! Car oui ce brave Rodney a décidé de laisser ces souris qu’il a nommé les souris ménagères du Pays de Galles vivre leurs vies en ne changeant rien à sa routine.

Vu qu’il a partagé son histoire sur les réseaux sociaux et sur le site du SUN d’où je tire cet article, Rodney a bien sûr eu des demandes pour qu’il fasse des shows filmés avec sa camera à vision nocturne mettant en scène les souris nettoyeuses en prise avec des tas d’objets insolites histoire de rigoler. Mais non, il ne changera rien, il veut que les choses se passent naturellement comme elles se sont toujours passées depuis le début de ce petit mystère qui n’en est plus un.

Voilà une fois de plus un bel exemple de cohabitation intelligente entre l’homme et l’animal, le genre de petite histoire qui me fait chaud au cœur pour le restant de la semaine!

Xmas Holidays # 15: La fin d’une addiction

Aujourd’hui j’ai passé la journée avec un cours de basse de rattrapage et puis avec un copain. Nous avons mangé dans un restaurant que je vais incendier sur tous les supports possibles avant d’aller voir un film d’horreur très mou mais assez original car le monstre n’est autre que l’eau d’une piscine. J’ai beau être expert en films de genre, je ne suis pas sûr d’avoir tout compris ! 

Puis retour au bercail…

Et là dans ma boite aux lettre je trouve une enveloppe très attendue, elle contient une carte Pokémon que j’ai acheté en en vendant 5 autres le 23 décembre dernier. Avec cette carte, ma collection de cette série « Pokémon 151 » réalisée avec peu d’argent, beaucoup de ventes et énormément d’échanges est enfin complète ! :-D

Et maintenant ?

Et bien maintenant,tous ces classeurs vont se retrouver au dessus de mon armoire bien rangés à plat en attendant le bon moment pour revendre la plus grosse partie de ces cartes soigneusement archivées !

Et oui, revente car les nouveaux Pokémon (pas de « s » à Pokémon) sont tous plus débiles les uns que les autres au point que cette franchise est en train de prendre un peu l’eau. Pour moi c’est donc clair, je ne ferai plus jamais de collections, là j’ai refait celle-ci car elle mettait à l’honneur les 151 premiers Pokémon mais cela faisait plus de trois ans que je n’avais rien acheté et je compte bien retourner dans de telles dispositions. C’est donc la fin d’une addiction qui m’aura bien occupé mais qui, si je trouve les bons acheteurs au bon moment, me permettra au final de réaliser un bon bénéfice. Pokémon c’est un peu comme un investissement de pauvres, avec un peu de chance et un petit capital, on peut réaliser des bénéfices mais comme tout investissement cela reste bien dangereux, je dois donc faire attention et être réactif si le marché vient à s’effondrer… 

Xmas Holidays # 14: Adieu Hutch !

Aujourd’hui entre rangement, nettoyage et surtout exercices à la basse sur cette fichue chanson de Mac Cartney, j’ai donc appris la mort de David Soul qui m’avait régalé dans les années 80 lorsque je regardais la série Starsky et Hutch.

Des nouvelles comme ça, il en tombe souvent, voire de plus en plus. Ces disparitions ne me touchent pas toutes de la même façon, la disparition de Neil Young ou de Clint Eastwood sera pour moi une épreuve difficile alors que si c’est certains acteurs ou artistes français dont on annonce le décès je suis plutôt indifférent.

Hier je ne suis pas sorti, je vais donc le faire ce soir histoire de boire un coup à la santé de Mr Soul. Puisse t-il reposer en paix et se retrouver en bonne compagnie auprès des acteurs talentueux qui ont influencé des générations entières de gosses et d’autres acteurs. 😎

Xmas Holidays # 13: ça sent la fin…

Ce matin une fois de plus c’est le contact avec une fine barre de métal froid sur la t^te qui me réveille. C’est encore mon siamois Ugo qui m’a posé son baton avec un élastique et des plumes au bout sur la tête pour que je joue avec lui.

Je mets en marche mon disque dur et très vite je réalise qu’il ne reste plus que 4 jours de vacances. Je vais donc devoir me bouger pour rattraper tous ces jours de paresse passés à rien faire ou presque.

Donc ce matin j’ai commencé par une grosse séance de basse et cette fois enfin je maîtrise complètement le morceau sur lequel je bosse depuis des mois. La question que je me pose c’est pourquoi est-ce qu’en temps normal je suis incapable de travailler chaque jour pour vraiment progresser. Cette expérience me met en face d’un fait que je ne peux nier, j’ai un vrai problème psychologique qui n’a rien à voir avec la procrastination mais bon depuis le temps que ça dure, le mal est trop profondément enraciné pour y remédier.

Maintenant il est bientôt 16h00 et là je dois travailler sur ce fichu écran, sauf que les distractions et tentations diverses qui passent sur ce même écran viennent me retarder voire rendre caduque toute velléité de ma part de faire le travail que j’ai prévu de faire.

Et le reste de la journée ? Oh sans doute aller boire une bière au pub ou chez le Pascal histoire de voir des gens mais pas de gras aujourd’hui et une seule bière suffira ! Et demain on fera un max pour rentabiliser la journée… Enfin … :-)

Xmas Holidays # 12: On reprend les mauvaises habitudes !

Aujourd’hui c’était le rendez-vous annuel de ma mère chez le cardiologue. les nouvelles sont bonnes elle se maintient très bien vu son age.

Aujourd’hui c’était aussi la réouverture du snack du vilage après les congés de fin d’année.

Du coup les deux bonnes nouvelle se sont rencontrées et je suis resté à discuter et à acheter du gras pendant deux heures.

Oui j’ai bien fait de ne pas prendre de bonnes résolutions.

Après tout, à l’impossible, nul n’est tenu ! :roll:

Xmas Holidays # 11 : 2024, annus horribilis?

2024 vient à peine de commencer et déjà je remarque qu’un pays important pour moi est en train de déguster avec des tremblements de terre, des tsunamis et une catastrophe aérienne.

Alors dans un contexte mondial catastrophique, pourquoi parler des soucis du Japon et pas des horreurs que vivent en ce moment les pays ravagés par les guerres et les autres catastrophes plus ou moins naturelles ?

Et bien sans doute parce que nous sommes en 2024 et que le dernier chiffre de cette date est une vraie malédiction au quotidien pour les japonais et les chinois. En Chine et au Japon une des lectures possibles du chiffre 4 c’est « shi » comme dans « shinobi » les fameux ninjas assassins. Et oui « shi » c’est la mort tout simplement.

Du coup pas de chambre 4 dans les hôpitaux chinois et japonais et au quotidien notamment pendant les événements sociaux ce chiffre maléfique est évité avec soin. Je présente moi-même, du fait de ma fascination pour la culture nippone une très forte tétraphobie (nom officiel de la phobie du chiffre 4) qui me pousse à rejeter avec force toute manifestation de ce chiffre dans mon quotidien au point d’avoir inventé une façon spéciale de manger une tablette de chocolat pour ne pas prendre 4 carrés en même temps.

Alors le sujet peut faire rire surtout le fait qu’il parvient à influencer un non asiatique comme moi. Mais là où cela devient inquiétant c’est de découvrir que selon des études sérieuses réalisées sur des chinois et des japonais vivant aux U.S.A, les accidents cardiaques augmentent de 13% tous les 4 du mois. La tétraphobie ne serait donc pas qu’une superstition comme une autre mais une peur profonde pouvant agir du fin fond de notre subconscient pour se manifester dans le réel de notre corps.

En japonais la date 2024 se lit « nisen ni-ju yon ». Le chiffre 4 qui est bien sûr un kanji se lit « yon » et pas « shi » car on utilise la prononciation japonaise du kanji, la prononciation « kun-yomi » vu qu’il est avec d’autres kanji (pas de « s » pour les mots japonais). Mais bon cela ne va sans doute pas suffire à ces peuples angoissés et superstitieux de passer une très mauvaise année en mettant sur le compte des la malédiction du chiffre 4 toutes les catastrophes naturelles ou non qui vont se produire cette année. J’y serai très attentif, cela risque d’être très intéressant surtout dans un contexte de remilitarisation du Japon et de montée des nationalismes agrémentés de menaces de plus en plus violentes de la Chine, de la Russie et surtout de la Corée du Nord…

Quant à moi je vais essayer de ne pas y penser mais ma vie étant ce qu’elle est, les douze prochains mois vont devenir encore plus lourds à porter. Et que dire du 4 avril 2024 ? Ce jour là qui tombera un jeudi je préfère ne pas y penser ! Je vais peut-être prendre une récupération ce jour là et rester dans mon lit ! 🙄