Si vous êtes fan de l’univers de Tim Burton, «Mercredi» est la prochaine série à ajouter sur votre liste. Suivant les aventures de Mercredi Addams, cette nouvelle série Netflix nous plonge au milieu de la Nevermore Academy, une école remplie de Loups Garous, Vampire, sirènes et autres personnages de fiction. Mercredi Addams, la fille d’une famille que l’on ne présente plus, y est envoyée pour finir ses études mais tout ne va pas se passer comme prévu.
Si la série aux 8 épisodes fait beaucoup parler d’elle, une scène en particulier ressort plus que les autres et pour cause ! Dans l’épisode 4, « Woe what a Night », l’école organise un bal pour ses étudiants et tous les regards sont braqués sur Jenna Ortega alias Mercredi. Alors que tout le monde est habillé en blanc, c’est la seule à arriver au bras de Tyler Galpin (joué par Hunter Doohan) dans une robe à froufrous noires. Je ne raconterai rien d’autre sur cet épisode pour ne pas divulgacher son contenu à celles et ceux qui veulent le voir.
Sachez juste qu’après cette entrée magistrale, nous arrivons à une scène de danse qui a tout pour devenir mythique. Cette scène est le moment où Mercredi se révèle totalement. Ce qui crée la séquence culte de la série. Je ne connais rien à la danse mais après avoir dévoré les 8 épisodes de la saison 1 de cette série, je reste comme beaucoup subjugué par cette scène d’anthologie ! On ne parle plus que de ça depuis une semaine sur les réseaux sociaux ! C’est pour cela que je vous en fait profiter ici :
Ce matin après avoir été tiré du lit par mon tyran à forme féline, la radio s’est allumée à 6h00 très précise, pile-poil pour le flash info de cette radio suisse que j’écoute tous les jours. La première nouvelle de cet édito consistait à évoquer le fait qu’aujourd’hui l’UNESCO allait faire entrer la baguette française dans le patrimoine immatériel de l’humanité.
Du coup je me suis dit que ce sujet serait juste parfait pour ce soir, histoire de relancer la guerre du pain en avançant que le vrai art de la baguette non industrielle n’est plus à la portée de tous les consommateurs bernés par des fausse boulangeries qui leur vendent du pain de moins bonne qualité que celui des supermarchés.
Mais non pas envie d’en dire plus, le pain j’aime ça mais je dois encore faire pas mal de recherches et consulter pas mal de vrais boulangers acceptant de me dire la vérité sur leur secteur pour pouvoir comprendre et rapporter mes découvertes en la matière. 🙄
Non ce soir, une fois de plus je suis très fatigué.
Fatigué par mon age ? Par mon métier parfois trop intense ? Par mes petits soucis de santé ?
Non, rien de tout ça. Je suis juste fatigué par les efforts perpétuels que je fais pour ne plus être moi.
L’ancien moi était certes exécrable et très largement insupportable, lourd et maladroit, malaisant et haïssable, mais le nouveau n’est juste pas naturel et est en train de me consumer de l’intérieur. Mais voilà, nous sommes à l’époque du politiquement correct et je ne peux plus me permettre ni de faire de l’humour ni d’exposer mes penchants ouvertement misanthropes et encore moins toute cette noirceur qui vit en moi. Au bout du compte je me sens comme Mercredi Addams enfermée à Disneyland.
Il n’en reste pas moins que je suis encore au stade de l’apprentissage, je fais les essayages de ce costume qui me gratte et afin de faciliter les choses, je tente de fuir le plus possible les tailleurs qui me l’ont mis sur le dos, ma tâche étant facilitée par l’aversion qu’ils manifestent vis à vis de ma personne.
Mais en leur compagnie je dois faire comme la marquise de Merteuil dans le roman « Les liaisons dangereuses » de Laclos, c’est à dire pratiquer le détachement en m’entraînant à sourire pendant que sous la table j’enfonce une fourchette entre ma peau et mes ongles. Bon, d’accord je ne le fais pas vraiment, mais l’idée est parlante, non ? 😆
Alors oui cette transformation en cours est fatigante car je dois toujours tout rigidifier en moi, et surtout veiller à parler le moins possible. C’est donc fini les blagues débiles pendant les réunions, les interventions intempestives pour exposer mes idées déviantes ou pour céder au doux plaisir de mettre les gens en face de leurs contradictions. Non, je ne serai plus un bouffon. Mais je ne suis pas triste pour autant car je pense pouvoir m’adapter et survivre.
Je n’espère et n’attends aucune félicitations car ce nouveau moi n’est qu’un simple costume, quand je rentre chez moi je peux redevenir qui je suis vraiment et respirer tranquillement.
Non, tout ce que je désire c’est que l’on me laisse tranquille, je fais de gros efforts pour m’intégrer à la société des bien pensants alors en échange de ma bonne volonté, j’exige que l’on me laisse décider ce que je veux faire de mes temps libres.
C’est donc pour cela que je n’irai pas au pot de fin d’année au travail.
C’est aujourd’hui que le livre Guinness des records a ouvert un nouveau record en déclarant Flossie, une chatte britannique comme étant le plus vieux chat encore en vie. Les vétérinaires ont fait des examens poussés de sa structure osseuse et du reste pour prouver que ce chat est âgé de 26 ans et 316 jours.
Flossie à ses débuts était une chatte errante vivant près d’un hôpital avec ses frères et sœurs. Adoptée par une première personne avec laquelle a a vécu jusqu’à sa mort 10 ans plus tard, Flossie a ensuite vécu avec la sœur de son propriétaire d’origine pendant 14 ans, jusqu’à ce que ce propriétaire décède également.
Flossie a été prise en charge par un autre parent, qui a pu s’occuper d’elle pendant environ trois ans avant de confier le félin à l’association caritative Cats Protection.
Cats Protection a placé Flossie dans une nouvelle maison avec la propriétaire Vicki Green.
« Elle manque parfois son bac à litière ou a besoin d’aide pour se toiletter, mais je peux l’aider avec tout cela. Nous sommes dans le même bateau », a déclaré Vicki Green au Guinness World Records. « Cats Protection a beaucoup de chats matures qui ont besoin d’un foyer et ils n’ont pas besoin de beaucoup d’entretien. Tout ce qu’ils veulent, c’est un câlin et un endroit chaud pour dormir. Je suis content que Cats Protection m’ait jumelée avec Flossie; l’adopter a été enrichissant pour nous deux. »
Hier, mon vieil ordi a fini par retomber en panne et vu que c’est lui qui gère mon scanner je suis une fois de plus obligé de repasser une archive. Voici donc le sens de Noël, une fête qui ne va que dans un sens, celui de la surconsommation.
Ce matin après avoir dévoré trois épisodes de la série Wednesday, je suis allé chez mon ami Jérôme pour manger et discuter en écoutant trois disques vinyles sur sa chaîne HI-FI, ambiance chill plus. Puis passage à la petite librairie de la ville d’en bas avant d’aller beugler au pub devant le second match de la France pour cette coupe du monde 2022…
Mais le pire est encore à venir avec une nuit qui va sans doute se finir tôt demain matin.
J’aimerai que tous mes samedis ressemblent à ça ! 😆 (Photos de tout ça plus tard après l’avoir vécu).
Encore une journée au jardin, les mains sont bien propres mais mes ongles sont encore un peu crottés de terre. Si l’on me le fait remarquer avant que je n’ai eu le temps de me faire une manucure je dirai que je les garde ainsi pour me rappeler d’où je viens et où je me dirige.
Toute vie est appelée à finir en fumier, la mienne y compris…
Bon, pour ce soir je pense avoir mérité une petite séance de cinéma…
A demain. Je ne voudrais pas arriver en retard et faire faux bond à James.
Et oui le samedi 26 novembre j’allais voir Casino Royal, le nouvel essor des films de James Bond au cinéma… Pour le reste et bien ça reste moi, hélas…
Journée difficile voire très difficile au travail, du coup ce soir je suis allé au pub qui était exceptionnellement ouvert pour la diffusion du premier match de l’équipe française tenante du titre dans cette coupe du monde au Qatar.
Photos détails et impressions demain car là il va être 23h00 et demain j’ai du travail.
Le 13 novembre dernier, des barbus se sont réunis dans un bar à Casper dans le Wyoming (USA) afin de lier leurs barbes les unes aux autres dans le but d’en faire la plus grande chaîne de barbes possible pour battre le dernier record en date.
Pour participer il suffisait d’avoir une barbe de 20 centimètre minimum et bien sûr d’accepter de se la faire attacher à celle d’un autre homme.
Le résultat a été sans appel, la chaîne de barbes ainsi constituée a atteint la taille de 45,72 mètres faisant ainsi exploser le dernier record en date détenu par les allemands depuis 2007.
Cette destruction de record était organisée en marge du championnat national des barbes et moustaches.
Bon, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais pour moi ils doivent vraiment s’ennuyer le dimanche ces ricains… 😆