Vendredi soir, lorsque j’ai retrouvé Ugo, mon idée encouragée par le vétérinaire était de les séparer. Mais voilà Ugo pendant son périple a développé une nouvelle aptitude celle d’ouvrir les portes et samedi à 2h20 du matin j’ai été réveillé par un grognement pour contempler le spectacle de mes désormais deux chats qui se faisaient face sur mon lit.
Tant pis pour la quarantaine, passons au travail de socialisation qui en fait s’est déroulé en accéléré et sans mon aide. Mes deux chats s’adorent, se courent après, jouent à la bagarre, se font des léchouilles et au matin je les retrouve couchés sur moi. Et là il squattent tous les deux mon ordi…
Je passe un temps fou à les regarder, ils semblent heureux et en confiance et ma mère les regarde aussi avec un grand sourire rempli de joie quand ils s’échangent des câlins.
Par contre niveau véto ça pique…
Mais c’est un si petit prix à payer pour tant de bonheur !
