Summer days #22 : Journée photo

J’ai passé la journée avec le copain Florian pour mener à bien un projet un peu débile, photographier des fresques murales imposantes dans une ville à 70km de chez moi en utilisant une chambre, (ma Sinar F2, la plus compacte et la plus qualifiée pour le job dans mon arsenal) et ce pour composer des images en s’affranchissant de plusieurs obstacles et en choisissant ce que je voulais faire rentrer dans mon image.

Mais c’est bien souvent Florian qui est venu pour faire mes mouvements compliqués.

Il n’empêche que je suis impatient de développer et de voir ce que ça donne même si du coup ça me donne une gross pression car là je ne dois pas me louper au labo !

Summer days #20 : Journée 309 mais pas que…

Plus de détails demain car c’est le genre de soirée à finir à 5h00 du mat…

Edit : j’avais raison mais je me suis couché à 5h30 le temps de mettre les poubelles dehors.

Cette soire de malade reste pour l’instant mon meilleur souvenir de ce septième été sans vacances et sans la mer qui me manque tant.

Ah et depuis ce mercredi 7 août je peux de nouveau rouler avec ma 309 adorée !

Tout ça grâce à mon copain. 😀

Summer days #19 : Encore un de sauvé !

Aujourd’hui j’ai fait les courses et j’ai fait des choses importantes comme les démarches pour ma nouvelle carte d’identité, c’était vraiment l’enfer, mais bon je suis allé au bout.

J’ai aussi pris un rendez-vous chez un pédicure pour mes ongles des pieds.

Mais la chose qui m’a pris le plus de temps ça a été de sécurisé tous les fichiers importants de l’ordi de ma sœur avant de tenter et de réussir sa réparation à la fois matérielle (changement des barrettes de ram) et logicielle (grand ménage, désinstallation des programmes inutiles et qui posent des soucis, nettoyage des fichiers temporaires, réparation du registre et enfin chase au virus et malware.

J’envoie un message à ma sœur pour lui annoncer que l’ordi est réparé et elle me dit que je peux le garder.

Dans ce cas je vais le remettre dans sa version d’origine c’est à dire windows 7 car là avec windows 10 installé n’importe comment, il n’est pas très performant avec ses 4GO de RAM…

Mais voilà, encore un de sauvé qui n’ira pas en déchetterie !

C’est important pour mon moral de voir que je suis toujours doué pour ce genre de choses… 🙄

Summer days #18 : Tamagoyaki ? Gokaku !!!

Aujourd’hui j’ai bien avancé avec le nettoyage/rangement du garage mais mon plus beau fait de ce jour, celui qui mérite une médaille, c’est que j’ai enfin réussi à faire une grande avancé dans la maîtrise de la cuisson de mes chers Tamagoyaki.

Les tamagoyaki sont ces omelettes roulées/feuilletées que l’on trouve dans les gamelles (Bento) que se font encore les japonais pour manger rapidement le midi sans avoir besoin de four. Une façon de s’alimenter qui leur vient de leur passé et qui reste fortement ancré dans la culture nippone.

Jusqu’ici je n’arrivais pas à avoir la texture fluffy, une fois sur deux c’était brûlé et je dois avouer que je mettais trop de choses dans mes œufs battus. A midi pendant ma pause rangement j’avais un creux et vu qu’il n’y avait rien dans le frigo en dehors des ingrédients du repas du soir, j’ai décidé de prendre 3 petits œufs pour me confronter une fois de plus au démon du Tamagoyaki. Mais j’y suis allé la fleur au fusil et histoire de compliquer les choses j’ai eu la flemme d’aller rechercher mes lunettes de vue.

Du coup j’ai utilisé mes autres sens que ma vue et j’ai surtout beaucoup réfléchi à mes précédentes erreurs. J’ai réfléchi à la façon dont cette poêle rectangulaire répartissait la chaleur et j’ai profité des différences de température dans chaque zone pour définir ou je devais rouler et où je devais laisser cuire doucement… J’ai aussi utilisé une huile d’olive très pure que je n’ai pas fait trop chauffer. Bref, j’ai maîtrisé comme si un cuisinier japonais était là pour me conseiller !

Et j’y suis enfin arrivé ! Pour la première fois j’ai eu mon omelette roulée, entière, non brûlée et avec cette texture si moelleuse. C’est une réussite ! « Gokaku » ! Je n’ai plus qu’à définir avec précision mes dosage de mirin, de sauce soja, de sel et de dashi (poisson en poudre) pour aboutir au gout que je recherche et par la suite je pourrais tenter d’autres tamagoyaki avec d’autres choses dans mes œufs battus voire inventer les miens !

Ah, sinon j’ai oublié de le préciser mais oui…

C’était délicieux !!! 😀

Summer days #16 : Catfight

Aujourd’hui j’ai bien travaillé sur le terrain, j’aurai pu faire encore mieux mais voilà lorsque je ne gère pas ma mère et le tracas quotidien de la faire manger, je dois gérer mon chat et ses pulsions.

Vendredi prochain cela fera un an que j’ai ce nouveau chat siamois, un siamois sans papier qui n’a que la robe de la race. Mais qu’importe, c’est mon chat.

Par contre de son coté ça n’est pas la fête du tout car entre mes angoisses exagérées (les nouveaux voisins pourraient lui faire du mal), mes craintes fondées (j’ai un chat qui ne sait pas miauler) et mes préoccupations écologistes (les chats siamois ne sont pas des prédateurs naturels de la faune franc comtoise et détruisent par plaisir oiseaux et lézards), et bien face à tout cela je ne l’ai toujours pas lâché pour qu’il aille seul dehors.

Mais vu que je n’ai pas abandonné cette idée de le laisser vivre sa vie de chat comme tous les chats que nous avons eu depuis bien avant ma naissance, je le promène en laisse et c’est comme ça qu’il a sympathisé avec le chat des voisins et qu’il pleure pour que je le laisse aller jouer à la bagarre avec lui.

Au final je suis perdu avec tout ça, il suffirait de pas grand chose pour me rassurer et que je lâche le monstre comme par exemple l’entendre miauler pour de vrai histoire de prévenir si il se retrouve coincé dans le garage de voisins partis en vacances. Mais bon, même ça il ne fait pas, ce n’était pas en option. Quand il miaule, il fait le bruit d’un petit oiseau triste, ce n’est pas du tout du maôooo !!! de siamois.

Et je culpabilise.

Mais pas de trop car aujourd’hui je l’ai photographié en noir et blanc en train de jouer à la bagarre avec le chat des voisins et je me dis que si jamais il était malade, vu comme ils se battent pour s’amuser, mon chat le sera aussi. Si j’ajoute que dans le quartier il y a pas mal de chats malingres qui semblent abandonnés et porteurs de plus de choses que les puces que le « copain » de mon chat lui a filé…

Les chats chez moi c’est compliqué c’est à la fois source de réconfort et de stress voire de traumatisme comme celui dont je sors à peine suite au décès de mon siamois.

Mais hélas aussi douloureux que cela puisse être, vivre sans chat l’est encore plus ! 🙄

Summer days #15 : Humbles victoires

  • Réussir à ne pas se recoucher même si le chat m’a tiré du lit à 5h00 du matin (son nouveau record, il en est très fier).
  • Réussir à faire manger du poulet et du taboulé à ma mère.
  • Réussir à ne pas trainer devant les écrans.
  • Réussir à entrer dans ma combinaison de travail made in England.
  • Réussir à remonter du fil neuf sur le coupe bordure électrique ancestral.
  • Réussir à couper les grosses touffes de la pelouse avec ce fil nylon.
  • Réussir à arrêter pile poil à 18h00, heure légale de fin du bruit dans le quartier.

Bon et bien avec tout ça je pense que demain la tondeuse électrique va ramasser pas mal de choses avant que la thermique ne prenne le relais pour me faire un gazon de golfeur.

Bref je vais peut être enfin m’en sortir.

Et si dans la foulée je perds pas mal d’eau en transpirant et bien ça sera bonus !

Au final il est 18h30 je suis encore habillé en géant vert et je transpire à grosses gouttes.

Une douche et je vais au pub déguster un carré d’agneau au barbecue avec de la ratatouille et avec une seule bière.

Tous ces efforts méritent bien ne récompense, non ? 😀

Summer days #14 : Lapin

Un jour sous le signe du lapin…

Le chat m’a sauté dessus comme un lapin en furie à 5h30 du matin et m’a obligé de lui donner à manger. Par la suite impossible de me rendormir.

J’ai fait une crise d’angoisse vers 6h00 du matin en vidant entièrement la poubelle de papier/carton avant le passage des éboueurs car j’avais peur d’avoir mis des papiers du boulot dedans ce qui en cette période effrayante aurait été une cause de licenciement. Bien sûr il n’y avait rien.

Puis je me suis recouché.

Ma mère me fait lever pour lui donner ses médicaments à 9h00 puis pour manger à 13h00 et puis je me réveille à 19h00 sans rien comprendre.. Cervelle de lapin.

Et là je vais au pub pour profiter de la semaine barbecue et c’est du lapin que l’on me sert alors que je pensais que c’était le² carré d’agneau.

Pour finir, je peux dire qu’aujourd’hui j’ai posé un lapin à tous les principes que j’avais tenté de mettre en place pour profiter de mes vacances à domicile.

Demain faut que ça change.

Demain, ça change !!! 👿

Summer days #13 : Accident de labo

La photo argentique c’est parfois ça, mon film dont j’attendais les portraits avec tant d’impatience est ressorti translucide, il n’y a rien, le révélateur n’a pas révélé l’émulsion qui a été dévorée par le fixateur… Reste le support plastique.

Et ça c’est rageant !

Encore plus dans mon cas car je ne sais pas d’où ça vient.