Un jour j’ai amené ma cousine ukrainienne et ses enfants en haut d’un très beau belvédère pour contempler la nature au printemps. J’avais pris le Mamiya et c’est donc à cet instant que j’ai capté ce moment, enfin surtout ce regard de réfugiée en exil. Un regard plein de tristesse, de lassitude, d’inquiétude et aussi d’incompréhension vis à vis de mon hobby. Faire des photos avec un gros machin comme ça au lieu de prendre son téléphone, il faut être fou ! Je sais déjà ce qu’elle va dire vis à vis de la photo, elle va la détester car cette photo la montre telle qu’elle est et non telle qu’elle parait avec les filtres installés sur son téléphone qui la transforme en Barbie visage plastique. 😆
Une photo avec des tonalités magnifiques
Chapeau 😉
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merci, mais elle est hélas si triste… 😦
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